Oh, le bon siècle, mes frères Que le siècle où nous vivons ! On ne craint plus les carrières Pour quelques opinions. Plus libre que Philoxène, Je déchire le rideau. Coulez, mer vers, de ma veine, Peuples, voici du nouveau !
Oh, le bon siècle, mes frères Que le siècle où nous vivons ! On ne craint plus les carrières Pour quelques opinions. Plus libre que Philoxène, Je déchire le rideau. Coulez, mer vers, de ma veine, Peuples, voici du nouveau !