Au dieu d'amours, j'en quitte et rends les armes, ne retenant de son train que les larmes pour me servir et pleurer mon malheur et jeter hors par mes yeux ma chaleur, le suppliant que mieux il se contente de mes travaux que non de son attente.
Au dieu d'amours, j'en quitte et rends les armes, ne retenant de son train que les larmes pour me servir et pleurer mon malheur et jeter hors par mes yeux ma chaleur, le suppliant que mieux il se contente de mes travaux que non de son attente.