Toutes les nuitz que sans vous je me couche, Pensant à vous ne fay que sommeiller, Et en revant jusques au resveiller Incessemment vous quiers parmi la couche, Et bien souvent au lieu de vostre bouche En soupirant je baise l'oreiller.
Toutes les nuitz que sans vous je me couche, Pensant à vous ne fay que sommeiller, Et en revant jusques au resveiller Incessemment vous quiers parmi la couche, Et bien souvent au lieu de vostre bouche En soupirant je baise l'oreiller.