Dieu, me faut-il supporter tant de mal, autre que vous n'en a connaissance. Pour cela je veux toujours me contenter. Et si n'ai plus sans vous, nulle espérance, otez moi donc la souvenance (=le souvenir) de mon malheur auquel (je) ne puis pourvoir (=détourner). Ou donnez moi la patience qu'autre que vous ne le puisse savoir.