C'est a grand tort qu'on dit que le penser, n'est que langueur d'une chos'incertaine, car je soustiens, qu'il ne peut offenser une qui est de loyal penser plaine, O doux penser qui caus'a autrui peine, et a mon coeur parfait contentement, octroyez moy quelque joy'incertaine De ce penser que j'ay incessament.