» 
 » 
Le Dépit de la bergère, H 7



Берлиоз Гектор - Le Dépit de la bergère, H 7 - текст песни (слова)

De mon berger volage
 J'entends le flageolet.
 De ce nouvel hommage
 Je ne suis plus l'objet;
 Je l'entends qui fredonne
 Pour une autre que moi.
 Hélas ! que j'étais bonne
 De lui donner ma foi !
 
 Autrefois l'infidèle
 Faisait dire aux échos
 Que j'étais la plus belle
 Des filles du hameau ;
 Que j'étais sa bergère,
 Qu'il était mon berger;
 Que je serais légère
 Sans qu'il devînt léger.
 
 Un jour c'était ma fête,
 Il vint de grand matin ;
 De fleurs ornant ma tête,
 Il plaignait son destin
 Il dit : « Veux-tu, cruelle,
 Jouir de mes tourments ? »
 Je dis: « Sois-moi fidèle,
 Et laisse faire au temps ! » 
 
 Le printemps qui vit naître
 Des volages ardeurs
 Les a vu disparaître
 Aussitôt que les fleurs;
 Mais, s'il ramène à Flore
 Les inconstants zéphirs,
 Ne pourrait-il encore
 Ramener ses désirs?   
Другие материалы по этой песне:

https://primanota.net/hector-berlioz/le-depit-de-la-bergere-h-7-lyrics.htm